Hier je suis arrivé à la bourre en cours parce que je me suis endormi sur mes cours en milieu de matinée, puis j'ai du me dépatouiller avec la prof pour expliquer tant bien que mal comment j'avais pu oublier de faire un taf assez simple qu'elle nous a demandé il y a trois semaines.
Aujourd'hui je me suis souvenu une demi-heure trop tard d'un rendez-vous à la fac avec une fille que je n'ai jamais rencontrée mais à qui je devais filer du fric et le fric que m'a confié une amie. Ce soir vers 21h30 j'ai réalisé que j'avais oublié pour la deuxième fois consécutive d'appeler un bureau pour un truc urgent, ils ne seront pas ouverts avant lundi à 9h ou 14h.
J'ai vu ma copine quatre fois cette semaine, et quatre fois j'ai oublié de lui filer un truc important que j'ai, du coup, presque toujours sur moi.
vendredi 20 novembre 2009
mardi 20 janvier 2009
BLOGGING#02
Dans une boutique de prêt-à-porter :
"Bonjour, euh j'aimerais savoir si du fait de l'investiture d'Obama aujourd'hui, vous avez remarqué une hausse des ventes de livres sur cette personnalité :) Si vous avez un rayon actu... Ah euh non bon effectivement excusez-moi au revoir"
"Bonjour, euh j'aimerais savoir si du fait de l'investiture d'Obama aujourd'hui, vous avez remarqué une hausse des ventes de livres sur cette personnalité :) Si vous avez un rayon actu... Ah euh non bon effectivement excusez-moi au revoir"
lundi 12 janvier 2009
BLOGGING#01
A l'instant :
j'appelle Richemont depuis mon téléphone fixe sans fil après avoir recopié son numéro depuis mon téléphone cellulaire, du moins je crois le faire (pour organiser une soirée jeudi à l'appart'), et tombe sur un répondeur :
"Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de François Fromont, laissez-m..."
Pris d'une indicible panique qui m'astreint à un écartement démesuré des paupières, je raccroche fébrilement, et mets quelques secondes à reprendre une respiration normale. Puis j'éclate d'un rire nerveux et saisis un crayon pour écrire sur un papier qui trainait là un nom : "François Fromont". Il y a quelque chose à faire d'un tel nom. Tel pris qui croyait prendre, , je me vois secouer mon téléphone d'une sonnerie inopinée. Numéro inconnu. Fébrile, je presse la touche correspondant au décrochage du combiné virtuel :
"Allô ?
- Oui ? (C'ETAIT LA MÊME VOIX OH MON DIEU)
- Eeeeeuuuh... François Fromont ? :)
- Oui.
- ...
- Vous avez essayé de me contacter... A l'instant. (ferme, réfléchi, méthodique... Un caïd. Un killer. Oui, voilà, c'est probablement un tueur. A gages, enfin j'en sais rien)
- Ah, euh oui héhé.. Eeeeh il s'agisait d'une erreur en fait, héhé. Désolé...
- Ah bon.
- Oui... (couinant)
- Et vous connaissez mon nom. (profondément suspicieux, mauvaise bête vous voyez. Là je commence à étudier l'éventualité qu'il ne soit agent spécial iranien, voire russe ou tchécoslovaque)
- Oui, je suis tombé sur votre répondeur.
(instant rare)
- Ah. Ah oui, bon désolé. Au revoir..."
Sa voix s'estompe tandis qu'il va déjà pour raccrocher. Je n'ai pas le temps de lui signifier mes adieux.
Je crois que je ne saurai jamais pourquoi il était désolé (quoique).
Bonne journée quand même :)
j'appelle Richemont depuis mon téléphone fixe sans fil après avoir recopié son numéro depuis mon téléphone cellulaire, du moins je crois le faire (pour organiser une soirée jeudi à l'appart'), et tombe sur un répondeur :
"Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de François Fromont, laissez-m..."
Pris d'une indicible panique qui m'astreint à un écartement démesuré des paupières, je raccroche fébrilement, et mets quelques secondes à reprendre une respiration normale. Puis j'éclate d'un rire nerveux et saisis un crayon pour écrire sur un papier qui trainait là un nom : "François Fromont". Il y a quelque chose à faire d'un tel nom. Tel pris qui croyait prendre, , je me vois secouer mon téléphone d'une sonnerie inopinée. Numéro inconnu. Fébrile, je presse la touche correspondant au décrochage du combiné virtuel :
"Allô ?
- Oui ? (C'ETAIT LA MÊME VOIX OH MON DIEU)
- Eeeeeuuuh... François Fromont ? :)
- Oui.
- ...
- Vous avez essayé de me contacter... A l'instant. (ferme, réfléchi, méthodique... Un caïd. Un killer. Oui, voilà, c'est probablement un tueur. A gages, enfin j'en sais rien)
- Ah, euh oui héhé.. Eeeeh il s'agisait d'une erreur en fait, héhé. Désolé...
- Ah bon.
- Oui... (couinant)
- Et vous connaissez mon nom. (profondément suspicieux, mauvaise bête vous voyez. Là je commence à étudier l'éventualité qu'il ne soit agent spécial iranien, voire russe ou tchécoslovaque)
- Oui, je suis tombé sur votre répondeur.
(instant rare)
- Ah. Ah oui, bon désolé. Au revoir..."
Sa voix s'estompe tandis qu'il va déjà pour raccrocher. Je n'ai pas le temps de lui signifier mes adieux.
Je crois que je ne saurai jamais pourquoi il était désolé (quoique).
Bonne journée quand même :)
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